Le Gambit du diable de Yakov Braun.

La quatrième de couverture vaut la meilleure présentation tant de l’auteur que de l’ouvrage…

L’amateur du noble jeu appréciera l’utilisation de termes quasi disparus comme « fuscher« (une mazette en yiddish), il appréciera également l’étonnant passage qui résonne, toute considération historico-politique mise à part, étrangement avec notre actualité et qui évoque le changement des règles (taille de l’échiquier, déplacement des pièces).
Je pourrais extraire 100 passages qui m’ont bouleversés souvent, amusés parfois, mais je n’en place qu’un ici:
« … leurs visages conservaient cette tension fantastique, cet oubli de soi-même qui n’appartiennent qu’aux toxicomanes et aux joueurs d’échecs ».

A bientôt ici ou ailleurs

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